La Guilde de Hurlevent
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Message  Sensaï 1/11/2009, 00:57

Les Humains de Hurlevent sont une espèce résistante, qui a survécu à l'invasion des orcs sauvages pendant la Première Guerre.
Pendant la Seconde Guerre, les armées de Hurlevent rejoignirent l'Alliance afin de reconquérir la terre d'Azeroth.
Après le succès de la Seconde Guerre, Hurlevent fut reconstruite et la civilisation humaine commença de nouveau à prospérer dans les terres du sud. Avec la récente invasion de la Légion Ardente, laquelle a laissé le royaume de Lordaeron en ruines, Hurlevent reste le dernier bastion de la civilisation Humaine. Suivant les exemples héroïques des légendaires sire Lothar et Roi Llane, les défenseurs de Hurlevent sont considérés comme les guerriers les plus redoutables du pays.
Ils sont bien décidés à préserver l'honneur et la puissance de l'humanité dans ce monde sans cesse au bord des ténèbres.


Les tribus des premiers humains s'attaquaient entre elles sans soucis d'unification ou d'honneur. Pourtant, une tribu, les Arathis, comprit que les trolls devenaient une menace trop grande pour être ignorée. Les Arathis souhaitaient rassembler toutes les tribus sous leur coupe pour former un front uni contre les armées trolles.

Pendant six ans, les rusés Arathis parvinrent à déjouer les attaques de leurs rivaux et à les battre jusqu'aux derniers. Après chaque victoire, les Arathis offraient paix et égalité aux tribus conquises. Ainsi, ils gagnèrent la loyauté de ceux qu'ils avaient battus. Les Arathis finirent par conclure des pactes avec de nombreuses tribus disparates, ce qui accrut grandement les rangs de leur armée. Assurés de pouvoir contenir les guerriers trolls et même les solitaires elfes si le besoin s'en faisait sentir, les chefs de guerre arathis décidèrent de construire une imposante cité fortifiée dans le Sud de Lordaeron. Cette cité état, appelée Strom, devint la capitale de la nation arathie, Arathor. Comme Arathor prospérait, les humains, venus de tous les coins du continent, migrèrent vers le sud pour s'installer dans l'enceinte protectrice et salvatrice de Strom.

Unis sous une bannière unique, les tribus humaines développèrent une culture forte et pleine d'espoir. Thoradin, le roi d'Arathor, savait que les mystérieux elfes des contrées du Nord étaient constamment assiégés par les trolls, mais refusa de risquer la sécurité de son peuple pour défendre la vie d'étrangers reclus. Et même si, au fil des mois, les rumeurs annonçant la défaite des elfes se faisaient de plus en plus insistantes, ce n'est que lorsque des ambassadeurs épuisés en provenance de Quel'Thalas atteignirent Strom que Thoradin prit réellement conscience de la menace représentée par les trolls.

Les elfes informèrent Thoradin que les armées trolles étaient vastes et qu'une fois Quel'Thalas détruite, ils viendraient prendre le Sud d'assaut. Les elfes, désespérés, ayant besoin d'un soutien militaire, consentirent avec hâte d'enseigner la magie à des humains triés sur le volet en échange d'un soutien contre les trolls. Thoradin, qui se méfiait de la magie, accepta par nécessité de venir en aide aux elfes. Dans la foulée, des sorciers elfes arrivèrent à Arathor et commencèrent à enseigner la magie à un groupe d'humains. Les elfes trouvèrent que bien que les humains fussent foncièrement maladroits dans la maîtrise de la magie, ils possédaient pour elle une affinité naturelle étonnante. Une centaine d'hommes apprit les bases des secrets elfiques en matière de magie, pas plus qu'il n'était nécessaire pour combattre les trolls. Convaincus que les étudiants humains étaient prêts à rentrer dans la bataille, les elfes quittèrent Strom et voyagèrent vers le nord avec les puissantes armées du roi Thoradin.

Elfes et humains unis allèrent défier les terribles guerriers trolls au pied des montagnes d'Alterac. La bataille dura plusieurs jours, mais les armées d'Arathor tinrent bon et ne concédèrent pas un pouce de terrain sous les assauts des trolls. Les seigneurs elfes jugèrent qu'il était temps de se servir de leurs pouvoirs contre leur ennemi. La centaine de mages humains et une multitude de sorciers elfes invoquèrent la colère des cieux et embrasèrent les guerriers trolls. Les flammes élémentaires empêchèrent les trolls de se régénérer et de soigner les blessures qui les torturaient, et consumèrent leur âme de l'intérieur.

Alors que les armées trolles tentaient de se disperser et de s'enfuir, les armées de Thoradin les pourchassèrent et les massacrèrent jusqu'aux derniers. Les trolls ne parvinrent jamais à se remettre complètement de cette défaite et l'histoire n'a jamais fait mention d'une nation trolle depuis ce jour. Assurés que Quel'Thalas était sauvée de la destruction, les elfes firent acte d'allégeance et d'amitié envers la nation d'Arathor et à la lignée de son roi, Thoradin. Humains et elfes allaient entretenir des relations pacifiques pendant les siècles à venir.


Les armées victorieuses d'Arathor retournèrent chez elles dans les contrées du sud de Strom. La société des humains d'Arathor grandit et prospéra, mais Thoradin, craignant que son royaume ne vole en éclat s'il s'étendait trop rapidement, conserva Strom comme cœur de l'empire arathorien. Après des années de croissance et de commerce sans conflits, Le puissant Thoradin mourut de vieillesse, laissant la jeune génération d'Arathor étendre sans entrave l'empire au-delà du territoire de Strom.

La centaine de mages humains, à qui les elfes avaient à l'origine enseigné la magie, étendirent leurs pouvoirs et étudièrent beaucoup plus profondément les disciplines mystiques. Ces mages, choisis dès le départ pour leur forte volonté et leur noble esprit, avaient toujours utilisé la magie avec soin et responsabilité. Malgré cela, ils transmirent leurs secrets et leurs pouvoirs à une nouvelle génération qui n'avait pas vécu les rigueurs de la guerre et ne comprenait pas la nécessité de se restreindre. Ces jeunes magiciens commencèrent à pratiquer la magie pour leur propre intérêt plutôt que pour celui de leurs concitoyens.

L'empire grandit et s'étendit vers de nouvelles terres et les jeunes mages se répandirent également dans toutes les contrées méridionales. Se servant de leurs pouvoirs mystiques, ils protégeaient leurs frères des créatures sauvages et rendaient possible la construction de nouvelles cités états sur des terrains peu hospitaliers. Pourtant, au fur et à mesure que leurs pouvoirs s'accroissaient, les mages devenaient de plus en plus vaniteux et commençaient à s'isoler du reste de la société.

Dalaran, la seconde cité état arathorienne fut fondée sur les terres au nord de Strom. De nombreux sorciers émérites quittèrent le confinement étouffant de Strom et émigrèrent à Dalaran où ils pensaient être en mesure d'utiliser leurs nouveaux pouvoirs avec une plus grande liberté. Ces mages se servirent de leurs compétences pour bâtir les tours enchantées de Dalaran et puis se remirent à leurs études. Les citoyens de Dalaran toléraient les frasques des mages et bâtirent une économie forte sous la protection de leurs défenseurs adeptes de la magie. Pourtant, plus le nombre de mages pratiquant leur art augmentait, plus le tissu de la réalité entourant Dalaran s'affaiblissait et se fissurait.

Les sinistres agents de la Légion ardente, qui avaient été bannis lors de l'implosion du Puits d'éternité, furent de nouveau attirés vers ce monde par les incantations magiques et l'insouciance des mages de Dalaran. Ces démons, bien que relativement faibles, semèrent la confusion et le chaos dans les rues de Dalaran. La plupart des manifestations démoniaques n'étaient que des évènements isolés et les magiocrates firent ce qui était en leur pouvoir pour étouffer de telles affaires. Les mages les plus puissants furent envoyés pour capturer ces démons, mais les agents isolés de la Légion ardente avaient souvent le dessus sur les mages qui perdaient tout espoir.

Les mois passèrent et la paysannerie superstitieuse commença à suspecter les sorciers qui les gouvernaient de leur cacher quelque chose de terrible. Les rumeurs de révolution commencèrent à courir dans les rues de Dalaran alors que la paranoïa des citoyens les poussait à mettre en cause les motifs et les pratiques des mages qu'autrefois ils admiraient. Les magiocrates, apeurés à l'idée que les paysans se révoltent et que Strom ne choisisse d'agir contre eux, se tournèrent vers les seuls qu'ils pensaient pouvoir comprendre leur singulier problème : les elfes.

Après avoir entendu les magiocrates leur conter les activités démoniaques en cours à Dalaran, les elfes dépêchèrent rapidement leurs plus puissants sorciers dans les territoires humains. Les sorciers elfes étudièrent les courants d'énergies de Dalaran et rendirent des rapports détaillés sur toutes les activités démoniaques dont ils étaient témoins. Ils conclurent que malgré le nombre réduit de démons en liberté, la Légion elle-même resterait une grande menace tant que les humains continueraient à manier la magie.

Le Concile de Lune-d'argent, qui gouvernait les elfes de Quel'Thalas, signa un pacte secret avec les seigneurs magiocrates de Dalaran. Les elfes racontèrent l'histoire de l'ancienne Kalimdor et de la Légion ardente aux magiocrates, une histoire qui menaçait de les rattraper. Ils informèrent les humains que tant qu'ils utiliseraient leurs pouvoirs magiques, ils devraient protéger leurs concitoyens des agents maléfiques de la Légion. Les magiocrates proposèrent de désigner un champion mortel unique qui se servirait de l'ensemble de leurs pouvoirs afin de combattre les Légions dans une guerre secrète sans fin. Il fut assuré maintes fois que la majorité de l'humanité n'apprendrait jamais l'existence de ce Gardien ou de la menace de la Légion de peur qu'elle ne provoque des révoltes de panique paranoïaque. Les elfes acceptèrent cette proposition et fondèrent une société secrète qui prendrait en charge la sélection des Gardiens et les aiderait à juguler la montée du chaos partout dans le monde.

La société se réunissait en secret dans les clairières ombragées de Tirisfal, le lieu même où les hauts-elfes s'étaient installés pour la première fois en Lordaeron. En conséquence, ils nommèrent cette secte les Gardiens de Tirisfal. Les champions mortels choisis au fil du temps pour tenir le rôle de Gardien étaient dotés de pouvoirs incommensurables à la fois d'origine humaine et elfique. Bien qu'il ne pût y avoir qu'un seul Gardien à la fois, ils détenaient des pouvoirs tels qu'à eux seuls, ils pouvaient repousser les agents de la Légion lorsque celle-ci se manifestait dans le monde. Seul le Conseil de Tirisfal était autorisé à choisir un successeur digne d'assumer les responsabilités de Gardien. Quand un Gardien devenait trop vieux ou trop usé par cette guerre secrète contre le chaos, le Conseil en désignait un nouveau et transférait les pouvoirs du Gardien à son nouvel agent. Les générations passèrent et les Gardiens défendirent l'humanité de la menace invisible de la Légion ardente à travers tous les territoires d'Arathor et de Quel'Thalas. Arathor s'agrandit et prospéra alors que l'utilisation de la magie s'étendait à tout le royaume. Pendant ce temps, les Gardiens gardaient un œil vigilant sur les signes d'activité démoniaque.



Strom était toujours le nœud central d'Arathor, mais tout comme Dalaran, de nombreuses nouvelles cités états avaient émergé sur tout le continent de Lordaeron. Gilnéas, Alterac et Kul Tiras furent les premières cités états à émerger, et bien qu'elles eussent toutes des coutumes et une économie propres, elles restèrent toutes fidèles à l'autorité unificatrice de Strom.

Sous la surveillance vigilante de l'Ordre de Tirisfal, Dalaran devint le centre névralgique de l'enseignement de la magie dans tout le pays. Les magiocrates qui gouvernaient Dalaran fondèrent le Kirin Tor, une secte spécialisée qui était chargée de rechercher et de cataloguer tous les sorts, artefacts et objets magiques connus de l'humanité.

Gilnéas et Alterac devinrent de fervents partisans de Strom et développèrent de puissantes armées qui explorèrent Khaz Modan dans les régions montagneuses du Sud. C'est pendant cette période que les humains rencontrèrent pour la première fois l'ancienne race des nains et voyagèrent jusque dans l'énorme cité souterraine de Forgefer. Les humains et les nains partagèrent leurs secrets sur la forge du métal et l'ingénierie et se découvrirent un amour commun pour le combat et les contes.

La cité état de Kul Tiras, construite sur une grande île au sud de Lordaeron, développa une économie florissante basée sur la pêche et le transport maritime. Avec le temps, Kul Tiras bâtit une puissante flotte de vaisseaux marchands qui voyageaient à travers les contrées connues à la recherche de marchandises exotiques pour en faire le commerce et les vendre. Et alors que l'économie d'Arathor florissait, ses plus puissants éléments commençaient à se désagréger.

Plus tard, les seigneurs de Strom cherchèrent à transférer leurs domaines dans les luxuriantes contrées du nord de Lordaeron et quittèrent les arides contrées du sud. Les héritiers du roi Thoradin, les derniers descendants de la lignée des Arathis, déclarèrent que Strom ne devait pas être abandonnée et par là même s'attirèrent le mécontentement de l'ensemble des citoyens qui étaient également impatients de quitter le pays. Très loin au nord de Dalaran, les seigneurs de Storm bâtirent une nouvelle cité état qu'ils nommèrent Lordaeron. Le continent dans son ensemble tirerait son nom de cette cité état. Lordaeron devint un havre pour tous les pèlerins et tous ceux qui recherchaient la sérénité et la sécurité.

Les descendants des Arathis, abandonnés à même les murs tombant en ruine de l'ancienne Strom, décidèrent de voyager vers le Sud et de traverser les montagnes de Khaz Modan. Leur voyage prit fin après de longues saisons et ils s'installèrent dans les régions septentrionales du continent qu'ils nommeraient Azeroth. Ils fondèrent le royaume de Hurlevent au Cœur d'une vallée fertile, royaume qui devint lui-même rapidement une puissance autosuffisante.

Le peu de guerriers restant à Strom décida d'y demeurer et de garder les anciens remparts de leur cité. Strom n'était plus le centre de l'empire, mais elle se développa en une nouvelle nation connue sous le nom de Stromgarde (ce qui signifie le « rempart-de-Strom »). Chaque cité état prospérant indépendamment des autres, l'empire d'Arathor s'était effectivement désintégré. Alors que chaque nation développait ses propres coutumes et croyances, elles s'isolèrent graduellement les unes des autres. Les projets du roi Thoradin pour unir les hommes avaient fini par se perdre dans le néant.


Alors que les politiques et les rivalités des sept nations humaines suivaient leur cours, la lignée des Gardiens continuait à surveiller avec vigilance les faits et gestes du chaos. De nombreux Gardiens se succédèrent, mais un seul détenait à tout moment les pouvoirs magiques de Tirisfal. L'une des dernières Gardiennes de cette ère se distingua des autres comme une guerrière redoutable contre l'ombre. Aegwynn, une jeune humaine tempétueuse, obtint l'approbation de l'Ordre et hérita de la charge des Gardiens. Aegwynn pourchassa et éradiqua sans relâche les démons qu'elle trouvait mais elle remettait trop souvent en question l'autorité masculine du Conseil de Tirisfal. Elle pensait que les sages elfes et humains qui présidaient au Conseil étaient trop rigides dans leurs raisonnements et ne prévoyaient pas assez à l'avance la stratégie nécessaire à l'éradication définitive du conflit contre le chaos. Faisant preuve d'impatience pendant les discussions et les débats, elle aspirait à prouver sa valeur à ses pairs et ses supérieurs, et en conséquence préférait la bravoure à la sagesse dans les situations critiques.

Tandis que sa maîtrise des pouvoirs cosmiques de Tirisfal grandissait, Aegwynn apprit qu'un certain nombre de démons terrifiants erraient au Nord, sur le continent glacé de Norfendre. Voyageant vers le lointain septentrion, Aegwynn traquait les démons dans la montagne. Elle y découvrit qu'eux-mêmes traquaient l'un des derniers grands dragons et qu'ils drainaient l'ancienne créature de ses propres pouvoirs magiques. Les puissants dragons, qui avaient fui l'évolution ininterrompue des sociétés mortelles, se retrouvèrent à armes égales contre la magie noire de la Légion. Aegwynn affronta les démons et avec l'aide des nobles dragons, les éradiqua. Pourtant, tandis que le dernier démon était banni de la surface du monde des mortels, une tempête violente éclata dans tout le Nord. Un gigantesque visage noir apparu dans le ciel au-dessus de Norfendre. Sargeras, le roi-démon et seigneur de la Légion ardente se manifesta devant Aegwynn, entouré d'énergies maléfiques. Il avertit la jeune Gardienne que l'heure de Tirisfal allait bientôt sonner et que le monde se soumettrait bientôt devant l'invasion de la Légion.

Aegwynn l'orgueilleuse, se croyant à la hauteur du dieu menaçant, déchaîna ses pouvoirs contre l'avatar de Sargeras. Aegwynn, utilisant ses pouvoirs, défit avec une facilité déconcertante le seigneur-démon et réussit à détruire son enveloppe physique. Craignant que l'esprit de Sargeras ne soit toujours vivace, la naïve Aegwynn enferma sa carcasse à l'intérieur d'une des anciennes demeures de Kalimdor qui avaient été envoyées par le fond lors de l'implosion du Puits d'éternité. Aegwynn ne se douta pas que les choses s'étaient passées exactement comme Sargeras l'avait prévu. Elle venait par inadvertance de sceller le sort du monde des mortels car Sargeras, au moment où son enveloppe physique était détruite, avait transféré son esprit dans le corps affaibli d'Aegwynn. À l'insu de la jeune gardienne, Sargeras allait rester caché pendant de longues années dans les recoins les plus enfouis de son âme.



Les pouvoirs d'Aegwynn la Gardienne s'accrurent au fil des années. Elle se servit des énergies de Tirisfal pour étendre grandement sa durée de vie. Pensant naïvement qu'elle avait débarrassé la planète de Sargeras pour de bon, elle continua à défendre le monde contre les agents du roi-démon pendant environ neuf cents ans. Pourtant, le Conseil de Tirisfal finit par décréter que le mandat d'Aegwynn était venu à son terme. Le Conseil ordonna à Aegwynn de retourner à Dalaran pour qu'ils puissent choisir un successeur aux pouvoirs de Gardien. Mais Aegwynn, qui n'avait jamais fait confiance au Conseil, décida de choisir elle-même son successeur.

L'orgueilleuse Aegwynn avait prévu de donner naissance à un fils à qui elle léguerait tous ses pouvoirs. Elle n'avait pas l'intention de laisser l'Ordre de Tirisfal manipuler son successeur comme ils avaient essayé de la manipuler. Elle voyagea vers les régions du Sud d'Azeroth et y trouva l'homme parfait pour élever son enfant : un mage humain aux grandes qualités du nom de Nielas Aran. Aran était le mage officiel de la cour et conseiller du roi d'Azeroth. Aegwynn séduisit le mage et l'amena à concevoir avec elle un enfant. L'affinité naturelle de Nielas pour la magie allait circuler dans le sang de l'enfant et influencer les choix tragiques qu'il ferait plus tard. Les pouvoirs de Tirisfal furent également légués à l'enfant même s'ils ne devaient se révéler qu'à sa maturité physique.

Le temps passa et Aegwynn donna naissance à son fils dans un bosquet à l'écart du monde. Le baptisant Medivh, ce qui signifie « gardien des secrets » dans la langue des hauts-elfes, Aegwynn croyait que son enfant grandirait et prendrait sa place en tant que Gardien. Malheureusement, l'esprit malveillant de Sargeras, qui s'était dissimulé en elle, avait pris possession de l'enfant sans défense alors qu'il était encore dans le ventre de sa mère. Aegwynn ne se doutait pas que le nouveau Gardien du monde était déjà possédé par son plus grand ennemi.

Certaine que son bébé était sain et bien portant, Aegwynn présenta le jeune Medivh à la cour d'Azeroth et le lui confia afin qu'il soit élevé par son père et le peuple des hommes. Elle alla ensuite errer dans la nature sauvage se préparer à la fin de sa vie Medivh grandit et devint un garçon robuste mais ne se doutait pas des pouvoirs potentiels de son héritage tirisfalin.

Sargeras attendit le moment où les pouvoirs du jeune homme se manifestèrent pour sortir de sa torpeur. Medivh atteignit l'adolescence. Il était déjà très populaire en Azeroth grâce à ses prouesses magiques et partait souvent à l'aventure avec ses deux amis, Llane, le prince d'Azeroth et Anduin Lothar, l'un des derniers descendants de la lignée des Arathis. Les trois garçons ne cessaient de semer le trouble dans tout le royaume, mais l'ensemble des citoyens les aimaient quand même.

Quand Medivh atteignit l'âge de quatorze ans, les pouvoirs cosmiques qui sommeillaient en lui se réveillèrent et se livrèrent bataille à l'esprit envahissant de Sargeras qui se tapissait dans son âme. Medivh tomba dans un état catatonique qui dura plusieurs années. Lorsqu'il se sortit de son coma, il s'aperçut qu'il était devenu adulte et que ses amis Llane et Anduin étaient devenus les régents d'Azeroth. Bien que son souhait ait été de se servir de ses incroyables nouveaux pouvoirs pour protéger ce pays qu'il appelait « foyer », l'esprit sinistre de Sargeras tourna ses pensées et ses émotions vers une fin insidieuse. Sargeras se délectait dans le cœur assombri de Medivh, car il savait que ses plans pour une seconde invasion du monde étaient pratiquement achevés et que le dernier des Gardien de ce monde l'aiderait à atteindre son but maléfique.



Medivh continuait son combat contre Sargeras pour le contrôle de son âme. Le roi Llane, le noble monarque de Hurlevent, s'inquiétait de plus en plus des ténèbres qui semblaient souiller l'esprit de son ancien ami. Il confia ses inquiétudes à Anduin Lothar, le dernier descendant de la lignée des Arathis, qu'il nomma son bras droit militaire. Pourtant, aucun d'eux n'aurait pu imaginer que la lente descente dans la folie de Medivh déclencherait les horreurs qui devaient survenir.

Comme dernier encouragement, Sargeras promit à Gul'dan de lui accorder de grands pouvoirs s'il acceptait de mener la Horde en Azeroth. À travers Medivh, Sargeras raconta au démoniste qu'il pouvait devenir un dieu vivant s'il réussissait à découvrir l'emplacement de la tombe sous-marine où la Gardienne Aegwynn avait enfermé le corps meurtri de Sargeras mille ans auparavant. Gul'dan accepta et décida qu'une fois les citoyens d'Azeroth vaincus, il trouverait la tombe légendaire puis réclamerait sa récompense. Certain que la Horde servirait ses desseins, Sargeras ordonna de débuter l'invasion.

Dans un effort conjoint, Medivh et les démonistes du Conseil des ombres ouvrirent un portail dimensionnel connu sous le nom de Porte des ténèbres.



Pendant que les forces d'Azeroth et de la Horde s'affrontaient dans tout le royaume, des conflits internes commencèrent à peser sur les épaules des deux armées. Le roi Llane, qui pensait que ces orcs bestiaux étaient incapables de conquérir Azeroth, tint obstinément ses positions dans la capitale du royaume de Hurlevent. Pourtant, le roi Lothar était persuadé que la bataille devait être menée de front contre l'ennemi. Il fut forcé de choisir entre ses convictions et sa loyauté envers son roi. Choisissant de suivre son instinct, Lothar prit d'assaut la tour fortifiée de Medhiv, nommée Karazhan, avec l'aide du jeune apprenti du magicien, Khadgar. Khadgar et Lothar réussirent à vaincre le Gardien possédé, qui était effectivement la source du conflit. En détruisant le corps de Medivh, Lothar et le jeune apprenti bannirent sans le savoir l'esprit de Sargeras dans les abysses. En conséquence, l'esprit pur et vertueux de Medivh eu également la permission de continuer à vivre… et à errer dans le plan astral pour les années à venir.

Malgré la défaite de Medivh, la Horde continua à dominer les défenseurs de Hurlevent. Alors que la victoire de la Horde ne faisait plus de doute, Orgrim Marteau-du-destin, l'une des grands chefs de clan orc, commença à percevoir la corruption perverse qui s'était étendue dans tous les clans depuis l'épisode de Draenor. Son vieux camarade, Durotan, sortit de son exil et l'avertit de nouveau de la traîtrise de Gul'dan. En représailles, les assassins de Gul'dan massacrèrent Durotan et sa famille, ne laissant en vie que son seul enfant mâle. Marteau-du-destin ignorait que le fils de Durotan fut découvert par un officier humain, Aedelas Landenoire, et réduit en esclavage.



La Horde implacable finit par assiéger le Donjon de Hurlevent. Le roi Llane avait gravement sous-estimé la puissance de la Horde et il avait été le témoin impuissant de la chute de son royaume et de la prise de contrôle par ces envahisseurs à la peau verte. Finalement, le roi Llane fut assassiné par l'une des plus fines tueuses du Conseil des ombres : Garona la demi-orque.

Lothar et ses guerriers, prenant le chemin du retour de Karazhan, espéraient juguler les pertes et sauver le pays de leur enfance, autrefois glorieux. Au lieu de cela, ils arrivèrent trop tard et aperçurent les ruines fumantes de leur royaume bien-aimé. La Horde des orcs continua de ravager le pays et réclama les terres environnantes. Obligés de se cacher, Lothar et ses compagnons firent le serment sinistre de reconquérir leurs terres à tout prix.



Le seigneur Lothar se joignit aux survivants de l'armée d'Azeroth, après leur défaite au Donjon de Hurlevent, puis organisa un exode massif par la mer en direction du royaume au nord de Lordaeron. Convaincu que la Horde réussirait à soumettre l'humanité tout entière si personne ne l'arrêtait, les rois des sept nations humaines se réunirent pour se mettre d'accord et s'unifier dans ce qu'ils appelleraient plus tard l'Alliance de Lordaeron. Pour la première fois depuis presque trois mille ans, les nations disparates d'Arathor étaient de nouveau réunies sous une bannière commune. Au titre de Commandant suprême des forces de l'Alliance, le seigneur Lothar prépara son armée à recevoir la Horde.

Conseillé par ses lieutenants Uther le Porteur de Lumière, l'amiral Daelin Portvaillant et Turalyon, Lothar put ainsi convaincre les races semi-humaines de Lordaeron de la menace imminente. L'Alliance parvint à gagner la confiance des stoïques nains de Forgefer et d'un petit nombre de hauts-elfes de Quel'Thalas. Les elfes, dont le chef était à ce moment Anasterian Haut-soleil, étaient tout à fait indifférents quant au conflit qui se préparait. Cependant, ils avaient une dette envers Lothar puisqu'il était le dernier descendant de la lignée des Arathis, qui avaient aidé les elfes quelques siècles auparavant.



La guerre fit rage à travers les continents de Khaz Modan, Lordaeron et Azeroth. Comme prévu dans le déroulement de leur campagne au Nord, la Horde parvint à réduire en cendre les régions limitrophes de Quel'Thalas, et de cette façon à garantir que les elfes finiraient par se rallier à la cause de l'Alliance. Les plus grandes villes et cités de Lordaeron furent rasées et dévastées par le conflit. Malgré l'absence de renforts et les pires obstacles à surmonter, Lothar et alliés parvinrent à tenir leurs ennemis en échec. Cependant, pendant les derniers jours de la Seconde guerre, alors que la victoire de la Horde sur l'Alliance ne semblait plus faire de doute, une querelle terrible éclata entre les deux orcs les plus puissants d'Azeroth. Alors que Marteau-du-destin préparait son assaut final contre la capitale de Lordaeron – un assaut qui aurait écrasé les derniers vestiges de l'Alliance - Gul'dan et ses partisans abandonnèrent leur poste et prirent la mer. Marteau-du-destin, perplexe, ayant perdu presque la moitié de son contingent à cause de la traîtrise de Gul'dan, fut forcé de battre en retraite et de renoncer à sa plus grande chance de victoire sur l'Alliance.


Le seigneur Lothar, voyant que la Horde se perdait en luttes intestines, rassembla ses dernières forces et repoussa Marteau-du-destin au Sud, vers le bastion en ruine de Hurlevent. Là, les forces de l'Alliance piégèrent la retraite des orcs à l'intérieur de la forteresse volcanique du Pic Rochenoire. Bien que le seigneur Lothar ait péri pendant la bataille au pied du Pic, son lieutenant, Turalyon, rallia les forces de l'Alliance à la dernière minute et refoula la Horde dans les épouvantables Marais des chagrins. Les forces de Turalyon parvinrent à détruire la Porte des ténèbres, le passage mystique qui connectait les orcs à Draenor, leur patrie. Coupée de ses renforts et éclatée de toute part par les luttes internes, la Horde finit par sombrer et tomber devant la puissance de l'Alliance.

Les clans orcs, éparpillés, furent rapidement encerclés et enfermés dans des centres d'internement sous bonne garde. Bien que la défaite sans appel de la Horde ne semblait faire aucun doute, certains demeuraient extrêmement sceptiques quant à l'instauration d'une paix durable. Khadgar, désormais archimage de renom, convainquit le haut commandement de l'Alliance de bâtir sur les ruines de la Porte des ténèbres la forteresse de Rempart-du-Néant qui servirait de poste de vigie et pourrait empêcher une nouvelle invasion de Draenor.


Alors que s'éteignaient les derniers brasiers de la Seconde guerre, l'Alliance prit des mesures radicales pour contenir la menace orque. Un certain nombre de camps d'internements assez importants destinés à accueillir les prisonniers orcs furent construits au sud de Lordaeron. Placé à la fois sous la garde des paladins et des soldats vétérans de l'Alliance, l'expérience de ce camp fut un grand succès. Bien que les orcs fussent tendus et impatients de retourner au combat, les différents gardiens de ces camps, basés dans l'ancienne prison fortifiée de Fort-de-Durn, maintenaient la paix et garantissaient un semblant d'ordre.


Le roi Terenas de Lordaeron, convaincu que les orcs projetaient une nouvelle invasion d'Azeroth, convoqua les lieutenants en qui il avait le plus confiance. Il ordonna au général Turalyon et à l'archimage Khadgar de mener une expédition à travers la Porte des ténèbres pour mettre fin à la menace orque pour de bon. Les troupes de Turalyon et de Khadgar marchèrent sur Draenor et frappèrent à plusieurs reprises les clans qu'ils rencontraient sur la Péninsule des flammes infernales. Malgré l'aide d'Alleria Coursevent la haute-elfe, du nain Kurdran Marteau-hardi et du soldat vétéran Danath Trollbane, Khadgar fut incapable d'empêcher Ner'zhul d'ouvrir ses portes vers d'autres mondes.



Sur Draenor, Turalyon et Khadgar convinrent de faire le sacrifice suprême de détruire la Porte des Ténèbres de leur côté. Bien qu'il leur en coûterait la vie, et celle de leurs compagnons, ils savaient que c'était la seule façon de garantir la survie d'Azeroth. Et alors que Hurlenfer et Œil-mort se taillaient un chemin entre les rangs des humains dans une tentative désespérée de s'échapper, la Porte des ténèbres explosa sur leur passage. Pour eux et les orcs qui avaient pu survivre sur Azeroth, il n'y aurait pas de retour en arrière.


Ignorant qu'un culte maléfique s'était formé sur leurs terres, les dirigeants des nations de l'Alliance commencèrent à se disputer au sujet de possessions territoriales et d'influence politique. Le roi Terenas de Lordaeron commençait à suspecter que le fragile pacte qu'ils avaient conclu pendant les heures les plus noires de l'Alliance ne durerait plus très longtemps. Terenas avait convaincu les chefs de l'Alliance de prêter de l'argent et des ouvriers afin d'aider à la reconstruction du royaume méridional de Hurlevent, détruit pendant l'occupation orque en Azeroth. Les impôts élevés qui en résultèrent, sans compter les dépenses faramineuses pour entretenir et faire fonctionner les nombreux camps d'internement orcs, menèrent beaucoup de dirigeants, dont Genn Greymane de Gilnéas en particulier, à croire que leurs royaumes auraient plutôt intérêt à faire sécession avec l'Alliance.

Pour envenimer les choses, les hauts-elfes de Lune-d'argent rejetèrent brusquement leur allégeance envers l'Alliance, prétextant que la piteuse direction des humains avait mené à l'incendie de leur forêt pendant la Seconde guerre. Terenas refoula son impatience et rappela calmement aux elfes que Quel'Thalas n'aurait pas survécu si une centaine de courageux humains n'avaient donné leur vie pour la défendre. Néanmoins, les elfes décidèrent obstinément de prendre leur indépendance. Dans le sillage des elfes, Gilnéas et Stromgarde firent également sécession.

Bien que l'Alliance fût en train de sombrer, le roi Terenas gardait des alliés sur qui il pouvait compter. L'amiral Portvaillant de Kul Tiras ainsi que le jeune roi, Varian Wrynn d'Azeroth, restaient dévoués à l'Alliance. En outre, les sorciers du Kirin Tor, menés par l'archimage Antonidas, engagèrent le soutien inébranlable de Dalaran envers l'autorité de Terenas. Le plus rassurant de tous était l'engagement du puissant roi nain, Magni Barbe-de-bronze, qui avait fait le serment que les nains de Forgefer avaient une dette d'honneur infinie envers l'Alliance pour avoir libéré Khaz Modan de la domination de la Horde.



Après de longs mois de préparation, Kel'Thuzad et son Culte des damnés finit par donner le premier coup en propageant la peste de non-mort dans tout Lordaeron. Uther et ses paladins enquêtèrent dans les régions infectées dans l'espoir de trouver un moyen d'arrêter la peste. Malgré leurs efforts, celle-ci continua à se propager et menaçait de diviser l'Alliance.

Alors que les rangs des morts-vivants balayaient Lordaeron en long et en large, le prince Arthas, fils unique de Terenas, se mit à combattre le Fléau. Arthas parvint à tuer Kel'Thuzad, mais même sans lui, les rangs des morts-vivants gonflaient avec chaque soldat qui tombait pour la défense du pays. Frustré et limité par un ennemi qui semblait imbattable, Arthas prit de plus en plus de risques pour les vaincre. Les alliés d'Arthas finirent par le prévenir qu'il était en train de perdre son humanité.

La crainte et la résolution d'Arthas allaient causer sa perte. Il remonta la piste de la peste jusqu'à sa source en Norfendre avec la ferme intention d'en finir avec la menace pour toujours. Au lieu de cela, le prince Arthas finit par tomber entre les griffes du roi-liche et de ses extraordinaires pouvoirs. Pensant que cela sauverait son peuple, Arthas brandit Deuillegivre, l'épée runique maudite. Bien que cette épée lui accordât des pouvoirs incommensurables, elle vola également son âme et fit de lui le plus grand des Chevaliers de la mort du roi-liche. Défait de son âme et de sa santé mentale, Arthas mena le Fléau contre son propre royaume. Arthas finit par assassiner son père, le roi Terenas, et par écraser Lordaeron sous la domination de fer du roi-liche.



Bien qu'il ait vaincu tous ceux qu'il considérait comme ses ennemis, Arthas était toujours hanté par le fantôme de Kel'Thuzad. Celui-ci expliqua à Arthas qu'il devait être ressuscité pour le bon déroulement de la prochaine phase du plan du roi-liche. Pour le ressusciter, Arthas devait amener la dépouille de Kel'Thuzad au Puits de soleil mystique caché dans le royaume éternel des hauts-elfes à Quel'Thalas.

Arthas et le Fléau envahirent Quel'Thalas et assiégèrent les défenses vacillantes des elfes. Sylvanas Coursevent, la générale des rôdeurs de Lune-d'argent, combattit vaillamment mais Arthas finit par éradiquer l'armée des hauts-elfes et par se frayer un chemin jusqu'au Puits de soleil. Avec cruauté et un sentiment de supériorité, il releva le corps d'entre les morts le corps meurtri de Sylvanas. Il en fit une banshee, vouée à exister dans la mort pour toujours et à servir l'homme qui avait conquis Quel'Thalas.

Finalement, Arthas plongea la dépouille de Kel'Thuzad dans les eaux du Puits de soleil. Bien que les puissantes eaux d'éternité se souillèrent par cet acte, Kel'Thuzad fut ressuscité et devint un sorcier-liche. Désormais beaucoup plus puissant, Kel'Thuzad expliqua la prochaine phase du plan du roi-liche. Le temps qu'Arthas et son armée de morts repartent vers le sud, il ne restait plus aucun elfe à Quel'Thalas. La terre glorieuse des hauts-elfes, qui avait tenu pendant plus de neuf mille ans, n'était plus.



Un chaman draenei, Thoralius le sage, a récemment fait une découverte stupéfiante. Alors que la ligue des explorateurs s'évertuait à trouver le chaînon manquant des humains, celui-ci a consulté longuement les esprits des Vrykuls, Humanoïdes grands et puissants du Norfendre. Il s'avère que les humains sont en réalité les descendants des Vrykuls. En effet, il y a des milliers d'années, des couples Vrykuls eurent des enfants petits et faibles, trop pour rentrer dans la norme. Le roi Ymiron, souverain des Vrykuls, lança alors une vaste campagne d'éradication de ces "aberrations". Même si les tribus Vrykuls acceptèrent en grande majorité cet état de fait, Certains Vrykuls dissimulèrent leur progéniture par amour et les envoyèrent en Azeroth.


L'humanité est née.

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Texte tiré d'un post de Therion, serveur privé.
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Message  Enäf 1/11/2009, 14:00

Lequel serveur l'a tiré de http://wow-europe.com/fr/info/story/
...
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